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Chez les femmes présentant une infection urinaire, la survenue d’une cystite aiguë est très fréquente et le traitement habituellement utilisé repose sur des antibiotiques. Mais une autre famille d’antibiotiques, les antifongiques oraux, sont efficaces contre ce type d’infection. Les antibiotiques de la famille des macrolides sont indiqués contre les infections à Candida albicans, et sont particulièrement efficaces sur les récidives d’infections à Candida chez les patients immunodéprimés. Le traitement des infections à Candida est justifié en première intention, et nécessite une surveillance clinique et biologique rigoureuse.

La candidose vaginale ou cervicale correspond à une infection à Candida albicans. Elle peut être aiguë ou chronique. Elle est très fréquente chez les femmes qui ont une muqueuse vaginale sensible. Elle peut être due à une atteinte de la flore bactérienne ou à un déséquilibre de la flore vaginale (mycose, prolifération des levures). La candidose est une infection opportuniste qui peut avoir un impact sur le sein, le col de l’utérus ou l’endomètre. Il est important de bien vérifier que la candidose vaginale n’est pas à l’origine d’une cervicite ou d’une vulvite chronique car ces symptômes peuvent être liés à la candidose vaginale.

Quelles sont les caractéristiques de la candidose vaginale ? La candidose vaginale peut être à l’origine d’une cystite, d’une cervicite, d’une vaginite et d’une vulvite. Il s’agit d’une pathologie bénigne mais très gênante :

  • les femmes concernées ressentent des brûlures au niveau du vagin
  • les douleurs sont intenses
  • des pertes purulentes sont notées
  • les rapports sexuels sont douloureux
  • le traitement doit être prolongé
  • des pertes de sang peuvent être notées

Comment diagnostiquer une candidose vaginale ? La candidose vaginale se diagnostique par une échographie vaginale et une colposcopie.

Les traitements de la candidose vaginale Le traitement de la candidose vaginale est symptomatique. Les antibiotiques ne sont pas efficaces. Une candidose vaginale nécessite une surveillance gynécologique attentive et une prescription de relais par des antifongiques oraux.

Prévention de la candidose

Quelles sont les recommandations pour éviter la survenue de candidoses vaginales ? La prise de probiotiques contenant des lactobacilles ou de la teinture mère de calendula est efficace pour prévenir la survenue des candidoses vaginales et cervicales. Il faut éviter les aliments ou compléments alimentaires riches en sucres, graisses, acides gras saturés, protéines, amidon et alcool. En cas de candidose vaginale, un traitement antibiotique peut être prescrit, mais doit être réservé aux cas sévères.

Quels sont les médicaments à éviter lors d’une infection à Candida ? Les antibiotiques sont contre-indiqués dans le traitement de la candidose vaginale.

Conclusion

La candidose vaginale est une pathologie fréquente chez la femme jeune. Le traitement est symptomatique. Les traitements médicamenteux sont réservés aux cas sévères. Les médicaments à éviter sont les probiotiques contenant des lactobacilles et la teinture mère de calendula en raison de leur effet anti-fongique.

Les antifongiques oraux sont indiqués dans le traitement des infections candidosiques à Candida albicans.

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L’étude montre que la détection précoce des cellules cancéreuses par le système immunitaire pourrait être un moyen de prédire le risque de récidive de ces cancers. La réponse immunitaire des patients atteints d’un cancer permettrait ainsi de définir un plan de traitement adapté à leur profil biologique. Une étude menée par des chercheurs de la Harvard Medical School et du Massachusetts General Hospital à Boston.

Les résultats de l’étude ont été publiés le 14 octobre dans la revue Cell Metabolism.

La mise en évidence de cellules cancéreuses dans le sang, le côlon ou le rectum est un signal pour le système immunitaire pour attaquer la tumeur. Mais avant de pouvoir répondre à cette alarme, les cellules tumorales vont devoir infiltrer le système immunitaire et le détruire. Ce processus est extrêmement long et très complexe. Il demande un système de surveillance très précis et hautement performant.

Pour mener à bien leur recherche, les chercheurs ont analysé le sang et le tissu gastrique de 146 patients ayant des métastases dans le côlon. Ils ont identifié une protéine qui déclenche un fort stress oxydatif et qui pourrait donc signaler la présence d’une tumeur à haut risque de récidive. Cette protéine a été baptisée « 7-3-37 » par l’équipe de chercheurs.

Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) sont très répandues.

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